La politique d'Airbus pilotée par la Commission Européenne

Philippe de Villiers et Frédéric Nihous, avec Libertas, condamnent la politique économique ultralibérale, orchestrée de main de fer par le président de la commission européenne José Manuel Barroso, politique illustrée par les décisions récentes de la société Airbus, l’un des fleurons de l’industrie française et européenne.
Cette politique de la commission a de graves répercutions sociales pour de nombreux salariés français et installe un désert économique et financier sur l’ensemble du territoire national et européen en poussant les grands groupes industriels à délocaliser en zone à bas coûts sociaux.
C’est l’une des raisons pour lesquelles les Français avaient majoritairement dit non au projet de constitution, sachant bien que la politique annoncée par les dirigeants des grands partis européens conduirait à cet échec économique et social.
Sous l’œil complice et avec le silence approbateur de la Commission européenne, les dirigeants d’Airbus ont réaffirmé leurs choix stratégiques d’externalisation et de délocalisation de leurs activités industrielles vers des implantations en zones dollar ou à bas coût, méthode dénoncée par Philippe de Villiers et Frédéric Nihous.
Cette Europe ultralibérale, dirigée par les commissaires européens qui ne rendent jamais de compte aux électeurs, doit changer de cap, et ce sera l’enjeu majeur des prochaines élections européennes.
Il est temps d’élire des députés à Strasbourg qui sauront mettre en œuvre une politique du juste échange et non du libre échange, qui veilleront à installer aux frontières de l’Europe une protection économique seule garantie pour conserver une protection sociale. Avec Philippe de Villiers et Frédéric Nihous, ils réorienteront la politique économique et sociale de l’Europe vers la défense de nos activités et de nos emplois dans chaque territoire.